Tara

NOM :
Il change tellement souvent qu’elle ne se souvient pas de son vrai.

PRÉNOM :
Tara

ÂGE :
Mordu à l’âge de 13 ans, actuellement 1173
Née en 837 A.JC

RACE :
Lycan

CLAN :
Loup Gris

PERSONNALITÉ :
Tara est calme et réfléchis. D’un naturel solitaire, très peu de gens connaissant cette enfant des millénaires. Toutefois, même si son enveloppe charnel est celle d’une jeune fille, son esprit est plusieurs fois centenaire et à vu plus de mort que bien d’autres. De ce fait, ses yeux ne reflètent qu’une innocence faussé et un passé beaucoup trop vaste et obscure pour la petitesse de cette femme-enfant. Même si la petit Tara possède un sourire enjôleur et des manières de princesse, elle reste un esprit renfermé et indomptable, amoureux des grands espaces et de la liberté. Cependant, même si elle sembla savoir où elle va, Tara est souvent prise dans l’étaux de sa race et reste indécise sur plusieurs facteurs.

DESCRIPTION PHYSIQUE :
Premièrement, voir Avatar!
Tara possède le physique d’une enfant de treize ans. Ses formes vont donc avec. Ayant arrêter de grandir avant le temps normal, elle est petite, mince et menue. Ses cheveux sont d’un agréable noir de jais et tombe raide jusqu’à sa taille fine. Elle possède de grand yeux marrons emplis d’une curiosité dénudé de toute innocence. Sa peau est légèrement bronzé, même si elle resta pâlotte.

HISTOIRE :
S’était par une nuit d’un hiver particulièrement sauvage que s’est arrivé. Oh! Je m’en souviens parfaitement. Comment pourrais-je oublié se qui a de moi se que je suis aujourd’hui? Bref! J’avais onze ans à l’époque, et presque le même corps que maintenant, malheureusement. Ou peut-être pas? Mais enfin! Je m’égare.

Oui. Bon…Comme je le disais, l’hiver que nous devions encaisser était un des plus violent que nous aillions à vivre. Heureusement, les récoltes avaient été généreuse cette année et nous ne manquions de rien dans le petit village où je vis le jour pour la première fois. Se fut également pour cette raison que tout bascula. Finalement, se n’était peut-être pas heureusement, mais malheureusement. Ma famille comptait sept membres. Mes parents, deux plus vieux frères, une plus vieille sœur, un petit frère et pour finir, moi. Il devait être dans les alentours de 9h. Ma mère venait de me souhaiter bonne nuit. J’étais lourde de sommeil, et je n’aspirais qu’à dormir paisiblement. Toutefois, le destin en voulu autrement.

Alors que je trouvais enfin le sommeil, ma sœur, âgé à l’époque de 17 ans, entrait dans ma chambre et me tirait du lit. M’ordonnant de m’habillé chaudement et de le faire plus vite que cela. Transis de sommeil, mais terrifier par sa propre terreur, j’enfilai des vêtements et finissais de mettre mon manteau lorsqu’une créature défonça la porte de ma chambre, faisant pleuvoir des éclats de bois, et de terreur pur, sur nous. Au rez-de-chaussée, des cris montèrent à nos oreilles, finissant de semer la panique dans nos esprits. Même si elle savait qu’elle allait y passer, ma sœur me prit dans ses bras et me poussa à la fenêtre, priant le Seigneur pour qu’il m’épargne dans son infini miséricorde. Et me laissa tomber du haut de ma fenêtre dans l’épaisse couche de neige, son cri d’agonie clouant mon cri de peur à moi au fond de ma gorge.

Lorsque j’atterris dans la neige froide, dans la noirceur quasi total, je pris quelques minutes, là, étendu par terre, à comprendre que plus jamais ma vie ne serait la même. Et lorsque enfin je me décidai à fuir, je pleurai déjà à chaudes larmes la mort, j’en étais sûre, de ma famille. Heureusement, ma sœur avait eut un réflexe intelligent qui me sauva la vie. Consciente que je devais rester en vie pour elle, je commençai ma marche dans le froid et la noirceur. Tout autour de moi se dressait le funeste spectacle de mon village en feu, des affreuses créatures, selon ma vision d’enfant terrorisé, pillant et massacrants ceux qui tenaient de fuir. Homme, femme, enfant et vieillards tombaient comme des mouches sous les crocs puissants des lycans. Qui ils étaient? Je ne le sus que plus tard. Trop tard.

Pataugeant, transi de froid et de peur, je continuai ma route vers je ne sais quel refuse. Mes larmes gelaient presque aussitôt sur mes joues, et la neige semblait éprouver un malin plaisir à s’infiltrer dans tout les endroits possible. Au bout d’un moment, épuisée, gelée, désespérée, je m’effondrai dans le froid matelas et prier pour qu’enfin, je puisse trouver le repos éternel. Le repos éternel ne vint pas, mais mon sauveur oui.

Alors que je croyais que la mort allait venir me prendre, je me laissai aller à l’inconscience. Toutefois, de puissant bras me soulevèrent et une voix douce comme de la soie m’ordonna de rester éveillé. Même si tout mon être me dictait le contraire, je me concentrai sur cette voix qui n’avait de cesse de me chuchoter è l’oreille pour je reste éveillé pour lui obéir. Mon sauveur, je ne lui désobéirai pour rien au monde.

Combien de temps ce petit manège dura? Alors que lui, puissant et réconfortant, et moi, minuscule et faible, nous nous déplacions rapidement dans la campagne, je me posai vaguement la question. Ainsi qu’une multitude d’autre. Qui était-il? D’où venait-il? Pourquoi m’avait-il sauvé? Le Seigneur avait-il entendu la prière d’une pauvre enfant et de sa sœur? Au fond de moi, je le remerciai et fini par m’endormir malgré moi.

Alors qu’enfin, je m’éveillais, je constatai avec soulagement et gratitude que j’étais entendu dans un confortable et chaud lit. Le tissus, le plus doux qu’il m’eut été de toucher à cette époque, calme la peur qui grondait encore dans mes entrailles, car aussitôt sorti du royaume des songes, je m’étais durement cogner à la réalité, et recommençai à pleurer comme l’enfant que j’étais.

« Qu’as-tu à pleurer? »

Relevant le menton, j’aperçu un homme dans la quarantaine, du moins, en apparence car il en avait en réalité 300 à l’époque, assit à une table entrain de boire un liquide fumant, un plateau emplis de victuailles dessus. Mon estomac gronda, me signalant que j’avais une faim de loup. Ah! Quel expression! Plus tard, se n’en serait plus une.

« Ils sont tous mort. »

Expliquai-je entre deux sanglots. Je devais avoir une mine bien misérable, car le vieil homme se leva et m’apporta une pâtisserie, un large sourire éclairant ses traits. Mon estomac plus que reconnaissant, j’engouffrai, au risque de m’étouffer, le gâteau à la confiture de fraise et m’efforçai de chasser mes larmes. Patient, mon sauveur attendit patiemment que la pauvre et perdue enfant que j’étais se calme. Il dû se rendre compte que j’étais affamée, car il me souleva avec une force remarquable et m’assit à une table de chêne finement sculptée. Sans demander mon reste, je mangeai jusqu’à ne plus en être capable. Silencieux, il resta là, un petit sourire, comme un père fier de sa fille, à me regarder manger.

Plusieurs semaines s’écoulèrent ainsi. J’appris que mon sauveur s’appelait Nathan et qu’il était allé à mon village pour nous prévenir que les Lycan allaient nous attaquer. Faute de sauver le village, il m’avait sauvé moi. Je me souviens qu’il me regardait toujours avec la plus grande bienveillance, faisant attention que je ne me blesse pas ou n’attrapa la mort. Il était d’une gentillesse sans limite et j’en vins à le considérer comme un second père. En plus d’avoir de très beau meuble, Nathan vivait dans un manoir somptueux entouré de multiple richesse. Je n’aurais pu tomber sur père adoptif meilleur. Un soir, alors qu’il me racontait sa vie, il arriva à me confier qu’il avait déjà eut une fille, mais qu’elle était morte il y avait de cela plusieurs années et qu’elle me ressemblait beaucoup. S’était la raison pourquoi il m’avait gardé sous sa protection. J’étais heureusement d’être là. Ma famille était bel et bien morte, mais on ne m’avait tout enlever.

Fait étrange, Nathan s’absentait souvent. Il me parlait souvent de la pleine lune. Comme il l’a trouvait belle, surtout la nuit, mais lorsque je lui proposais de la regarder avec moi, il refusait systématiquement les soirées où l’astre était rond. Un soir, curieuse de savoir où il allait, je décidai d’explorer la gigantesque maison. J’aurais dû m’en abstenir. À l’autre bout de la demeure, dans les caves, se que je vis fit renaître les images de la nuit où mon ancien village fut détruit.

Je ne sais pas si, par un quelconque hasard, vous savez se que produit l’odeur de la peur sur un Lycan qui vient de se transformé? Meurtre. Moi-même je ne peux que difficilement me dépêtre de cet instinct qui nous pousse à attaquer la proie. Enfin, avec Nathan, son instinct prit le dessus.

Je me rappelle la férocité avec laquelle il m’a lacéré le bras, y laissant quatre profondes entailles avant de revenir à la charge. Toutefois, je crois qu’en me voyant blesser, l’esprit de Nathan reprit le dessus et il s’immobilisa devant l’enfant tremblante que j’étais. Je perdis conscience peu après probablement, car je me réveillai dans mon lit en pleins après-midi, deux jours plus tard, Nathan à mes côtés.

Pour être sincère, je n’éprouvai aucune peur face à se qu’il était, mais je m’efforçai de le détesté. Il faisait tout de même parti de ceux qui avait détruit mon ancienne vie. Toutefois, poussant un soupir, il se mit à me raconter l’histoire des Lycan. Des hommes se transformant en loup à la pleine lune, assoiffé de chair et de sang. Et que maintenant, j’y serais confronté.

Encore aujourd’hui, je me demande se qui me frappa le plus : L’histoire des Lycan ou apprendre que j’en étais devenue une par un concours de circonstance?

Mais enfin, pour continuer à vous narrez ma vie, je peux vous assurez que ma vie changea sur bien des aspects. Déjà, mes sens étaient beaucoup plus développer qu’avant. De plus, à chaque moi, je me transformais sous ma forme hybride. S’était une expérience effrayante, mais également captivante. Aussi, je pouvais me transformé en loup quand bon me semblait. Excepter lorsque ma transformation lycanthrope était à la pleine lune. Mauvais côté de la chose que je vis à long terme, peu importe les années qui passaient, je ne changeaient pas d’un poil.

Pour vous abréger les 1000 ans et des poussières suivante, je vais couper en vous disant que je resterai avec Nathan jusqu’à se qu’il soit tuer par des Wolfganger. J’avais 137 ans. Par après, j’ai erré un peu partout jusqu’au jour où je me suis définitivement installé à BlackCity. Pourquoi? Peut-être les objets dont j’ai entendu parlé? Me permettant d’être immortelle. Bah! Dans un sens, peut-être pas…ou peut-être bien…

OBJECTIFS :
Aucun