NOM : Serith
PRÉNOM : Sorrel
ÂGE : 19 ans
RACE : Humaine
CLAN : Devin
QUALITÉS :
Sorrel est vive et intelligente. On ne peut pas dire qu’elle ai le cœur sur la main, mais elle ne laissera pas quelqu’un qui a réellement besoin d’aide se débrouiller seule. Imaginative, elle peut s’occuper des journées entière, se qui en lasse plus d’un. Elle possède une sensibilité à fleur de peau qu’elle cache de son mieux pour éviter qu’on la remarque. Elle ne juge jamais quelqu’un sur se qu’il est. Étant depuis toujours exclus du sentiment d’amour familial ou d’amour tout court, elle est attentionné envers ceux qui s’occupe d’elle, même si se n’ai que pour la manipulé.
DÉFAUTS :
Malgré qu’elle ai un réel talent à se faire accepter à peu près n’importe qui , Sorrel est renfermé sur elle-même et anti-social. À première vue, elle est très égoïste et matérialiste. Première impression qui s’avère être des plus vrais. Même si elle est peu enclins à la discussion et très réservé, Sorrel a une très grand opinion personnelle d’ elle-même, se qui parfois la fait paraître snob, pour les peu de personne qui la voie. N’ayant jamais reçu d’amour véritable, son besoin de se faire aimé fait en sorte qu’elle est facilement manipulable.
DESCRIPTION PHYSIQUE :
Sorrel a une santé fragile. Tombant facilement malade, ses parents se servaient souvent cette excuse pour la laisser dans sa chambre. Chétive, son inactivité n’a cependant pas laisser de trace apparente. En effet, excepter sa santé, la jeune femme est en forme. Sorrel est petite, environs 159 cm et est un véritable poids plume étant donné qu’elle ne mange que très peu, se qui pourrait expliquer en partie sa grandeur. Elle porte de long cheveux châtain foncé, raide, qui lui descende jusqu’à mi-cuisse. Sa peau est extrêmement pâle étant donné que toute son enfance durant, elle n’a jamais connu la caresse du vent et du soleil directement sur sa peau lisse et douce comme de la soie. Ses grands yeux, puit d’une infinie solitude, sont d'un agréable marron foncé ou l'on voit parfois des reflets rouge à cause des jeux de lumière dans ses prunelles. Une éternel expression de lassitude habite ses traits comme si elle savait toujours exactement se qui allait arriver. Sa voix, calme et douce, est toujours basse. La voir haussé le ton relèvement carrément du miracle. Il n’y a que lorsqu’elle est très énervé que cela arrive. Et encore...
HISTOIRE :
Les parents de Sorrel sont multimilliardaire. Pas elle. Ses parents. Car l’énorme fortune qu’ils possédaient, leur fille n’en voit jamais la couleur et n’en sent jamais l’odeur. Des parents qui, dès son plus jeune âge, ne lui témoignèrent jamais plus qu’une attention toute particulière lorsqu’il était question d’argent, et de la peur le reste du temps…
La naissance de Sorrel fut des plus normal. Cependant, l’enfant ne l’était apparemment pas. Dès les premières années de sa vie, la petite Serith démontra un étonnant potentiel. Non pas pour marcher, mais bien pour voler et déplacer des objets. La bouteille de lait venait se loger entre les petites mains potelées du bébé toute seule en flottant doucement jusqu’à elle lorsque Sorrel réclamait son biberon. Si elle ne voulait pas se faire touché, la personne se retrouvait immédiatement collé au plafond sans moyen d’en redescendre, du moins, jusqu’à se qu’elle le décide après s’être calmé. Se fut pourquoi ses parents la craignirent dès le tout début.
Au fils du temps, alors que le bébé devenu jeune enfant s’amusait à faire voleté les blocs autour d’elle en spiral, ses parents continuaient de la craindre et de la laisser enfermer dans sa chambre, jusqu’à se que, affamé et lassé de ses manèges, elle aille demandé timidement de la nourriture à ses parents, car même s’ils ne leur venaient jamais à l’esprit de la contrarier, l’enfant était seule, et s’était seulement quand elle était calme, douce et obéissante qu’ils lui témoignaient le peu d’amour fictif qu’ils avaient crée pour elle.
Et plus le temps passait, plus l’enfant devenait renfermée sur elle-même. Seule encore et toujours avec pour seule amie ses poupées qui bougeaient par la force de son esprit. De peur que les autres familles « normales » ne découvre le monstre qu’ils avaient engendré, lorsqu’il fut temps pour elle d’entrée à l’école, ses parents engagèrent un professeur à domicile qui avait pour ordre de ne jamais dévoilé leur secret. Ses parents, à cette lointaine, déjà riche, le tuteur ne demanda pas plus que la petite fortune qu’il recevait. Salaire nettement supérieur à tout autre professeur normal ou privé.
La vie de Sorrel fut donc partagé entre sa chambre, endroit où elle vivait à longueur de temps, et le petit salon que ses parents avait fait emménagé pour qu’elle étudie.
Le tout changea imperceptible le jour où, à l’âge de 11 ans, elle passa dessus le règlement qui lui interdisait de sortir des deux seules pièces qu’elle avait droit d’aller, et supplia sa mère de ne pas se rendre à son salon de bronzage. Le temps de ramener l’enfant à sa chambre de la réprimander, il s’était bien écouler asser de temps pour que la femme manque son rendez-vous. Interdisant à sa fille sa collation du soir, elle reporta son rendez-vous au lendemain.
Se ne fut que, après s’être assuré que sa fille s’était endormi, feignant ignorer les larmes qui glissaient silencieusement sur les pâles joues de Sorrel, que les deux parents écoutèrent le journal télévisé. Se qu’ils virent les terrorisa, mais se fut aussi le début de leur fourbe méthode qui leur permettrait enfin de se servir de leur fille qui ne leur rapportait rien. Tout comme l’avait prédis l’enfant dans ses suppliques, le salon de bronzage avait brûler, tuant tout ceux qui se trouvait à l’intérieur. Se qui aurait inclus la mère si sa fille ne l’avait pas retenue.
Dès ce jour, ils se mirent à noter chaque prédiction de leur fille, se servait de ses connaissances pour améliorer leur fortune personnel. Sorrel, depuis longtemps habitué à un amour malheureusement inventer, fit son possible pour tenter de voir dans leurs mots et leurs gestes la moindre trace d’affection, mais il y avait longtemps que la peur l’avait chasser. À tout jamais.
Et la vie continua ainsi. D’année en année, grâce aux visions de Sorrel, ses parents continuèrent de s’enrichir d’avantage. Sans espoir de voir un jour autre chose que son éternel solitude.
OBJECTIFS :
Elle n’en a pas vraiment. Ou plutôt, elle n’en a pas vraiment besoin et n’en a jamais voulu. Elle vie de vision en vision, sans vraiment vivre.